Lors de notre atelier d’écriture de contribution pour le congrès, les camarades se sont répartis en quatre groupes de travail, chacun se concentrant sur un thème spécifique : le rôle du MJCF, l’international et le militantisme de terrain, le rôle des cadres et la conscience de classe au travail. Chaque groupe s’est impliqué dans une réflexion approfondie sur son sujet, en mobilisant les expériences et idées des participants. Ces temps d’échange, organisés en petits groupes, ont permis une dynamique participative et collective dès le départ.
Après 15 minutes de réflexion en groupe, chacun a présenté ses conclusions devant l’ensemble des camarades. Ces présentations ont ouvert un espace de débats riches et animés, d’une durée de 10 à 15 minutes par thème, permettant de confronter les points de vue et d’affiner les idées collectives; d’en trouver si possible un consensus. Les discussions, guidées par une trame écrite, ont non seulement structuré les échanges mais ont aussi permis d’exprimer les visions variées de militants aux profils très divers : étudiant·es, travailleur·euses et lycéen·nes, avec des années d’adhésion allant de 2 semaines pour les plus récents à 6 ou 7 ans de carte pour les plus expérimentés. Cette diversité a enrichi le débat et donné à chacun l’opportunité de partager son vécu et sa réflexion, quelles que soient son ancienneté ou son expérience militante.
Enfin, nous avons synthétisé les traces écrites produites par chaque groupe ainsi que les échanges des débats pour aboutir à une contribution commune. Ce travail collectif a permis à chaque camarade de mettre sa pierre à l’édifice des contributions, renforçant ainsi le caractère démocratique et inclusif de cette préparation au congrès. Tout le monde a pu s’exprimer dans un cadre respectueux, montrant ainsi la force de notre organisation à valoriser l’expression de chacun dans la construction de nos projets communs.
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